Dénivelé de Nice et chou-fleur, la dimension fractale des choses

Figure fractale


Figure fractale

La Parole du Maître

oui , on aimerait bien savoir ????….. le deniveler reel a niiiice.

 

bon on a sacré probleme !

quel est le vrai denivelé a nice ??? on a quand meme 2500 coureurs qui pensent devoir afronter un denivele de 2500 m et alexey nous sort comme cela quil a mesureé sur une carte ign quil y a 1800 m pendant que fauard ne cesse de me repeter que sur strava on va mesurer ma performance . strava j’ai fais l’essai ca mesure 190 m pour 130 m sur openruner

 

bon j’ai verifié, mon parcours sur carte ign ferais 190 m de denivelé pour 15,5 km ce qui correspondrait a 2185 m pour 172,5 kms. open runer m’annonce 130 m seulement. sur la carte ign il y a des points de niveau posé sur la route le plus haut est a 128 m pour open runer il n’y a que 122 m, alors qu’il y a un point noir carte ign sur la route marqué 128 , a chaque creux et bosse c’est 4 ou 5 metres qui saute a la fin on passe de 130 a 190 m donc. mon parcours serait plus dur que le parcours de nice. ensuite effectivement il ya le probleme des bosses. mais a mon avis il vaut mieux avoir une seul cote que de multiple bosse. puisse que la strategie est de mettre plus de puissance dans les bosses et donc a chaque debut de bosse on passe en anaerobie alors qu’avec une seul cote, on a plus le temps de s’adapter et diminuer la production d’acide lactique pour la même puissance même si a la fin de la cote ca fais plus mal, on a quand même au total produit moins d’acide lactique .

 

le temps de metre strava en route sur l’iphone demetre liphone dans le sac , de cuir au micro onde, de sortir liphone du sac , arreter strava . ca prend deja 2 minutes . ensuite la lecture des donnes est trop compliqué et en plus elle est fausse donc ca na aucun interet.

si je multiplie ma vitesse par linclinaison de mon iphone , jaurais un resultat imediat, strava il lui faut refflechir 5 minute et cest faux.

je vais verifie les cotes a la carte ign apres on vera.

 

Exégèse

Eric D soulève une question importante: quel est le dénivelé en vélo sur le triathlon Ironman de Nice?

Car étonnamment, le sujet est assez discuté, mais les réponses données peuvent grandement varier, comme le fait justement remarquer Eric.

L’organisateur prétend qu’il y a 2 500m. Mais un topographe attentif, et qui dispose des cartes IGN au 25 000ème de toute la région, a effectué des relevés précis, et trouve 1750m. Un troisième, qui a effectué le parcours en vélo avec un compteur à altimètre barométrique trouve quant à lui 1978m.

Bref, des écarts non négligeables – difficile d’y voir clair!

Nous pouvons d’ores et déjà éliminer le chiffre donné par l’organisateur, même si c’est celui qui est le plus souvent utilisé par les athlètes faisant le parcours, car on sait que ceux-ci ont toujours tendance à exagérer. Mais alors, d’où provient la différence entre le relevé sur carte IGN et le relevé altimétrique?

En réalité, l’un et l’autre sont sujets à caution: on sait qu’un relevé sur carte ne peut jamais être extrêmement précis, et on sait aussi qu’un altimètre peut dériver, soit à cause de la température lorsqu’il n’est pas compensé thermiquement, soit à cause de changements de pression atmosphérique, qui peuvent ne pas être négligeable sur un parcours qui dure de 5 à 6h pour les meilleurs.

Pourtant, les mathématiques nous donnent une explication, intuitée par Eric: elles nous enseignent que la mesure des dimensions d’un objet (sa longueur, sa surface son volume…) dépend de l’échelle d’observation.

Prenons le parcours de l’Ironman de Nice (http://ironmannice.com/fr/la-course/velo/ , http://ironmannice.com/files/2012/11/IMFR2013_Bike_d%C3%A9nivel%C3%A9_nov2012.pdf ).

Vu de Mars, la Terre est une sphère, et tout point qui se déplace à la surface d’une sphère reste à distance constante du centre de la sphère. Le dénivelé du cycliste à Nice est donc nul.

Rapprochons-nous un peu. Vu du cycliste qui fait le parcours, le parcours est loin d’être plat! Il faut grimper au Col, de l’Ecre, franchir les côtes de St Pons et de Coursegoules… A la fin du parcours, le cycliste aura estimé qu’il a quand même escaladé 6 ou 7 Tour Eiffel pour arriver au bout.

Rapprochons nous encore plus, et prenons le point de vue de la fourmi. Elle devra escalader chaque gravillon, descendre et remonter dans chaque creux de l’asphalte. Et si à la fin elle mesure la distance qu’elle a grimpée pour parcourir les 180 km, elle trouvera beaucoup plus que le cycliste!

Plaçons nous maintenant du point de vue de l’atome. Si l’on doit contourner et mesurer chaque molécule formant l’asphalte qui recouvre le parcours de Nice, on trouvera un dénivelé bien supérieur à la distance Terre-Lune.

La question du dénivelé de Nice, comme la question de la longueur de la côte de Bretagne ou de la surface du chou-fleur, n’a pas de réponse exacte et unique: tout dépend de l’échelle d’observation. Plus on observe la côte de Bretagne de près, plus elle est longue. C’est ce qui a donné naissance à la théorie des fractales, chère à feu Mandelbrot, qui ravit tous les jours les sportifs les plus esthètes: les figures fractales se reproduisent identiques à elles-mêmes à différentes échelles (voir figure en tête de cet article), de même que le caillou dans la montagne est à la fourmi ce que la montagne est à l’homme.

Mais même en restant à l’échelle du cycliste, on s’aperçoit que la mesure du dénivelé peut varier énormément.

Par exemple, admettons que l’on utilise des cartes IGN pour mesurer le dénivelé.

Sur une carte IGN au 50 000ème, l’équidistance entre les courbes de niveau est de 20m. Sur une carte au 25 000ème, elle est de 10m. Ce qui veut dire que toutes tes mesures sont exactes à plus ou moins 10m ou 20m (sauf passage exceptionnel par un point coté).

Ce qui veut dire aussi qu’à chaque fois que l’on passe une petite bosse de 20m ou moins (par exemple les ponts d’autoroute, un petit replat descendant dans l’ascension d’un col etc), on ne le voit pas sur la carte IGN.

Ça ne semble pas grand chose, mais cumulé sur 180km, on peut trouver des différences significatives avec ce que donne un relevé à l’altimètre barométrique à compensation thermique. Un relevé sur carte va donc systématiquement sous-estimer le dénivelé réel.

Notons que le relevé à l’altimètre barométrique est également sujet à la  problématique d’échelle d’observation, mais dans l’espace temporel cette fois-ci.

En effet, sans même parler de dérive barométrique et de l’imprécision inhérente à l’instrument, un altimètre barométrique intégré dans un ordinateur de bord de vélo va relever l’altitude selon une fréquence d’échantillonnage donnée, en général paramétrable par l’utilisateur. Selon cette fréquence d’échantillonnage, le dénivelé relevé va varier.

Si la fréquence d’échantillonnage est de 15 secondes, par exemple, l’altimètre n’enregistrera pas le passage d’un dos d’âne, ou le point culminant lors du passage d’un col.

Même si on descend à 5 secondes, on n’enregistrera probablement pas le passage d’un ralentisseur, ou le nid de poule, qui pourtant ralentissent la progression.

L’augmentation de la fréquence d’échantillonnage suppose aussi une augmentation simultanée de la précision de mesure. Si je roule sur du plat à 203m d’altitude, et que mon altimètre est précis à 5m près, il va me donner une fois 200m, une fois 205m, et va me cumuler un dénivelé inexistant.

La réponse n’est pas non plus dans l’augmentation infinie de la fréquence et de la précision d’échantillonnage, car plus on augmente cette fréquence, plus on augmente le bruit, ce qui peut nécessiter des post-traitements de filtrage assez complexes. A l’extrême, un échantillonnage à fréquence très élevé (>1000 Hz) associé à une précision extrême enregistrerait les vibrations du cadre et les cumulerait dans le calcul du dénivelé! C’est le syndrome de la fourmi, mais cette fois-ci dans le temps, et non dans l’espace.

Mais alors, au final, quel est le dénivelé à Nice?

On aura compris qu’il n’y a pas de réponse à cette question, mais le cycliste avisé pourra se dire qu’avec un peu moins de 2000m, il n’est pas loin de son affaire.

 

Une nouvelle gamme de produits pour la performance de haut niveau

Nous reproduisons ici le communiqué d’EricR&D au sujet d’une nouvelle gamme de produits révolutionnaires récemment commercialisés, inspirés par la créativité d’EricD.

(EricR&D n’est pas EricD, ni l’éditeur de ce site – nous ne faisons ici que reproduire son communiqué. Afin de garantir l’objectivité de ce site et l’absence de biais dans les conseils prodigués, et pour rester dans l’orientation profondément désintéressée et bénévole qui est la nôtre, nous ne tirons aucun intérêt commercial ni bénéfice du succès des produits présentés ci-dessous par EricR&D).

Suite à mon incursion dans le monde du triathlon, je vous propose toute une gamme de produits de notre création et fabrication, issus directement de notre Centre de Recherche et Etudes en Techniques Innovantes Nationales (le C.R.E.T.I.N) situe dans la Mecque des Hautes Technologies: Lagny .

Notre premier produit est une roue a bâtons asymétrique, mais symétrique et utilisable en roue avant ou arrière grâce a un astucieux système de moyeu interchangeable.

Premier rendu du proto "Eric D Wheels"

Développée au pied a coulisse géant et testée sur l’anneau de 17km habituel comme dans le col de Longchamp. La bande de freinage comprend un bout de truc rouge, on ne sait pas pourquoi, mais comme Mavic le fait, on s’est dit que c’était une bonne idee. Les plus grand champions, comme des coureurs-nageurs-tricheurs de première catégorie FFC futurs vainqueurs potentiels d’épreuves internationalement reconnues, ont tenté d’approcher et de faire venir cet outil ultra-performant sans succès.

Notre second produit est celui de notre succès initial : la machine a nager, qui vous permet par un travail musculaire intense de convertir vos fibres blanches en rouges (qui ne tache pas) et assure de développer une TECHNIQUE PARFAITE. Ceci est garanti par notre grand maitre de la natation, ceinture noire a pois vert du 100m en 2min15. Nous ne publierons bien évidemment pas de photos, pour éviter que la concurrence ne découvre certaines de nos astuces a moindre frais.

Notre troisième produit est un Powermetre révolutionnaire, adaptable a tous les standards de Boitiers de pédalier. Celui-ci est vendu avec son ordinateur de bord, qui a chaque instant vous précise la puissance optimale a développer en fonction du parcours (extrait directement de Google Maps), de la température, altitude et humidité pour une définition précise de la densité de l’air. Un module additionnel, permet aussi d’ajouter votre objectif, ou vous permet de le programmer en fonction de votre « vitesse Ironman » (marque déposée). Un dernier module vous permet d’anticiper visuellement le parcours et les virages grâce à une intégration Google Maps / Google Street / Google Earth de 7eme génération. Une intégration a un jeu de direction actif est en cours pour palier a vos déficiences en descente et vous permettre enfin de prendre la roue de mistertri à 115 km/h dans la descente de l’Izoard.

Notre quatrième produit est un produit révolutionnaire pour le développement des capacités en course a pied et en ultra-endurance : nous l’avons humblement appelé « LA BROUETTE ». Fourni avec un fascicule d’entrainement ainsi qu’un kit d’enregistrement de compagnie en nettoyage industriel et construction. Vous pouvez payer vos loyers en vous entrainant.

Nous proposons aussi :

  • le casque occipital, qui ne couvre pas le front pour une meilleur refroidissement
  • un skiff en carbone super léger, pour s’entrainer a ne plus se laisser mener en bateau
  • une voiture a air comprime et une carabine diesel
  • des chaussures de course a pieds resemellables et inusables
  • des ours blancs a sauver

A noter, nos offres spéciales entreprise avec vente en TVA récupérable pour les produits que vous achetez pour des raisons de R&D et autres subtilités comptables.

Machine à nager

La Parole du Maître:

je suis toujours en reflexion pour la machine a nager . cest le retour de l’axe a la position zero qui pose probleme . si j’enroule une corde autour d’un axe de 30 mm, ca fais 10 cm par tour. et donc il faut entre 15 et 17 tours. mais apres il faut que l’arbre revienne a sa position inititial. la, je pense disposer une autre corde qui s’enroulera en sens inverse et qui sera fixer a un elastique de 2 ou 3 metre sur des poulies. comment pourais je calculer le diametre de l’arbre ???? est ce que je marange pour que la roue ait la meme energie cinetique que le nageur??? apres ya un dispositif qui permet de frainer plus ou moins . mais quel vitesse je prends pour les mains, cest a dire quand la main est sur l’avant et quel va deriere, ca prend combien de temps si je fais 3800 m en 1 h 10?????

 

étonnant tout de même que dans les salles de muscu on trouve 10 ergometre aviron 20 ergometre vélo 5 tapis roulant et zero ergometre natation. je trouve cela tres bizard. mais c’est pas grave. le roulement a aiguille anti retour est utilsé pour les moulinets de pêches il permet de bloquer instantanément le retour alors que sur un velo, c’est un cliquet. je vais donc essayer de trouver 2 roulement anti retour et installer cela sur ma roue d’ergo qui en fait n’est qu’une simple tole découpé au laser sur la quelle est fixé une cage de ventilateur en plastique. il y a également une cellule photoélectrique qui permet de mesurer l’accélération de la roue et donc la puissance développer a chaque coup. pour ce qui est de la durée de vie d’un roulement elle augmente au cube de l’inverse de la charge. autrement un roulement utilisé a 70% de la charge , ca durée de vie est egale à 1/0.7= 1.42 et 1.42 a la puissance 3= 2,91 soit 2.91 million de tour. si j’utilise mon roulement a 90% de la charge , je n’ai plus droit qu’a 1.3 million de tour. et inversement a 50 % , ca fait 8 millions de tour. c’est la raison pour laquel je fait beaucoup de travail a allure lente, marche a pied et footing. ca permet au contraire de s’user les tendons et articulations de les renforcer en stimulant le système. c’est un travail tres long.

Exégèse:

EricD pose ici une vraie question: pourquoi ne travaille-t-on pas sa puissance en natation?

Les cyclistes déploient des trésors d’ingéniosité pour mesurer, tester, améliorer leur puissance, et en natation, quasiment rien sur ce sujet.

Les nageurs passent des heures à discuter de détails techniques, mais oublient de parler de puissance. Pourtant, si l’observation de l’Elite apprend une chose, c’est que les nageurs de haut niveau peuvent avoir des styles très différents, mais qu’ils ont tous un point commun: ils passent un temps énorme dans l’eau, même les sprinteurs, avec une intensité de travail élevée, pour améliorer leur condition physique – et ils ont une musculature impressionnante.

Il est certain que pour des raisons physiques de base, une plus grande puissance permet d’améliorer sa performance. Travailler et mesurer sa puissance en natation a du sens, et permettrait certainement des progrès importants, indépendamment de tout aspect technique.

Une fois encore, EricD ouvre des perspectives intéressantes de progrès en natation.

Et certes, il existe de nombreuses machines à nager, et elles sont utilisées par les champions au plus haut niveau, mais il est probable que la conception radicale de cette nouvelle machine est de nature à révolutionner l’entraînement en natation.

 

 

 

 

Sauver la Planète

 

La Parole du Maître

si l’on regarde bien, en admetant que je realise 20 kms chaque jour pour mon activeité proffessionel, avec mon velo muni de son capteur de puissance, je realise une economie de 4000 km annuel. cela represente une economie en energie fossile de 200 litre de gazoel. a 50 centimes le litres, je fais economiser a la france 100 euros sur le commerces exterieur , puisque les energies fossils sont entierement importés. donc, le capteur de puissance est rapidement amortie, pour la société et ca c’est si on prend en compte que les economies au niveau des energie fossiles. il ya les emissions de particules qui contribuent pour 50000 deces chaque années et qui coutent cher a la société. si y’a bien un truc que l’on peu deduire de son activité proffessionel, c’est bien le capteur de puissance qui permet de gerer au mieux l’energie dont on dispose!

ya pas de raison que je paye des charges social pour les pollueur qui sont en mauvaise santé et qui contribue au defficit de la société

 

le baril est a 80 euros et tu as 160 litres . ca fait 50 centimes, alors que quand j’achette un kilo de pomme de terre j’achette des pommes de terre produite en france, donc ca na rien avoir. avec mon capteur de puissance je creer de l’emploie en france. quand tu achettes du petroles a l’etranger , il faut que tu ai de l’argent, sinon t’a rien. tu creer de la misere et du chomage.

je fais mes comptes. si j’achette un capteur de puissance et que apres j’ai plus de tresorerie, je suis bien avancé. si j’achette pas de capteur de puissance et qu’apres je suis obliger de payer du RSI alors que je peu ne rien avoir gagné je suis tout aussi bien avancé. si je travaille plus, je depense plus, je gagne moins, donc c’est pas interessant non plus. de toute facon comme j’ai perdu ma carte bancaire, je peu rien dépenser.

 

je pense que c’est pas normal , le capteur de puissance devrait etre rembourssé par la securité social, au meme titre que l’aspirine ou les consultations.

 

Il ya 2 ans en novembre, j’ai fais toute la france pour vendre des centrales solaires. . Une fois que j’ai eu trouvé des clients, payer les assurances et tout les frais, les conditions ont changé et j’ai donc du arretter, par contre il fallait quand même que je continue a payer les taxes, même si je n’avais rien gagné. d’ailleurs, c’est pour ca que j’ai eu des retards de loyer.

 

Exégèse

ErciD nous montre ici que la préoccupation environnementale doit être au coeur de nos réflexions.

Cependant, ce qui est ici démontré, c’est surtout qu’il est important de ne pas penser la question environnementale indépendamment des autres champs de l’activité humaine, mais d’intégrer étroitement une démarche éco-consciente dans l’ensemble de nos activités, qu’elles soient sportives ou professionnelles.

En outre, la question environnementale ne saurait être dissociée des aspects économiques et sociétaux qui fondent notre société. En prenant en compte l’impact positif de ses activités éco-sportives sur les comptes sociaux de notre pays et sur la balance des paiements de notre commerce extérieur, parfois même au dépend de sa situation personnelle, EricD fait encore une fois d’une largeur de vue et d’un désintéressement qui ne peuvent susciter que respect et admiration.

Notons enfin que suite au message d’EricD, l’idée de faire rembourser l’activité sportive par la Sécurité Sociale rencontre un écho positif et grandissant:

http://sante.lefigaro.fr/actualite/2012/11/01/19384-lexercice-physique-devrait-etre-prescrit-sur-ordonnance

http://www.santemagazine.fr/actualite-le-sport-bientot-rembourse-par-la-securite-sociale-2592.html

 

Cross training / aviron

 

La Parole du Maître:

j’ai fais aussi beacoup d’aviron entre 15 et 35 ans. plusieurs final de championnat de france. test ergometre aviron 370 watt pendant 6 minutes. 450 watt pendant 3 minute.

 

en aviron également j’ai un skiff en carbone kevlar de 14 kg que j’ai construis et qui fait 28 cm de large, donc dans les vagues c’est pas facile et il faut avoir l’équilibre, j’imagine que pour un velo de tri ce doit etre le même problème, ça doit être assez pointu. cependant il me viendrait pas a l’idée en aviron de ramer avec autre chose. sur un velo de tri le poids semble etre davantage mieux repartie sur la selle et sur le guidon.

 

j’ai fais de l’aviron et ou contrairement a la course a pied, il faut avoir de la force dans les jambes.en aviron, a cadence 16 je peux faire monter le coeur a 160 et donc c’est pareille en velo, sur mon dernier velo j’avais installer un 53 12 que je ne quittais presque jamais, même a 25 kmh, autrement dis même en pedalant comme un pied, j’arrivais a faire monter le coeur. bon apres c’est vrai j’ai pas beaucoup d’experience en velo. mais la ou je suis en bretagne , j’ai pas vu beaucoup de cyclistes. et donc j’ai un peur des voitures et des camions, c’est pour ca que le dimanche ya moins de risque. j’imagine que quand meme en velo, c’est un probleme musculaire, il faut avoir une bonne endurence de force…et savoir pedaler et aussi avec des muscles qui n’ont pas l’habitude de travailler en course a pied. mais avec l’aviron, ca ressemble un peu plus au velo. la premiere chose que je ferais sera de monter un capteur de puissance pour comparer mon efficacité avec l’ergometre aviron et la course a pied.

 

et bien j’ai bien regarder en faisant du rameur. pour les quadriceps, c’est quasiment les mêmes angles que sur le velo, la difference est la cadence on rame a 18 et non a 80. le coeur monte parceque ya le travaille des bras. mais la par contre c’est pas du tout le même travaille qu’en natation. ca ressemble très peu. c’est pour ca qu’en natation meme la force que j’ai dans les bras , elle est pas au bon endroit. ca explique qu’en natation si je depasse 120 de puls , je m’epuise a la vitesse du son. par contre a 120 je peu nager autant que je veux, ca fait mal au bras comme si je fais de la marche a pied. donc le rameur , je pense que ca fait tres bien travailler l’endurence de force des quadri, c’est pour ca qu’en velo, je ressent pas de difficulté pas plus qu’en aviron a condition pour le moment que je ne dépasse pas 145 de puls. anoter que 200 watt en B1 en aviron c’est tres bon. ca fais 350 watt sur 6 minute, je suis pas loing des 400 watt en theorie. mais ce qui m’importe est d’ameliorer mon B1 pas mon maxi sur 6 minute. peu etre je peux arriver a 220 watt . Le b1 est je crois me souvenir ce que l’on est capable de tenir 6 h.

 

 

Exégèse

L’exercice de l’aviron a un effet très positif sur le vélo. En fait, sur la distance de 2000m, c’est un exercice très cardiovasculaire, qui fait bien travailler les quadriceps, et ça dure à peu près le temps de franchir une bonne bosse. Les entraînements sont aussi très structurés et codifiés, avec les différentes allures, la puissance, la cadence, le fractionné etc. on progresse vraiment. Et après ces 3 mois, j’étais beaucoup plus à l’aise dans les bosses en vélo.

A vrai dire, il y a pas mal de triathlètes qui viennent de l’aviron et qui se débrouillent très bien (voir http://redaction.triathlete.fr/post/2007/10/11/Hawaii-:-Arnaud-Picut-lancien-rameur-bien-decide-a-ne-pas-ramer). Même à la limite il vaut mieux venir de l’aviron que du vélo pour faire du tri, l’avantage de l’aviron étant qu’on développe bien sûr la puissance des cuisses, mais aussi le haut du corps.

Sur le sujet, voir aussi:

http://triathlon.competitor.com/2012/11/training/row-your-way-to-triathlon-fitness_16365